Icône de la culture punk et underground, la musicienne et poétesse a bouleversé le rock des années 70 avec sa voix rauque et son énergie mystique sur scène.
Cheveux noirs corbeau et silhouette androgyne, elle s’installe à New-York en 67 à 21 ans où elle travaille d’abord en librairie. Passionnée des poèmes de Rimbaud, Baudelaire, et des chansons de Bob Dylan et John Lennon, elle ère d’abord dans les clubs de jazz avant de rencontrer Robert Mapplethrone : photographe contemporain, qui deviendra son binôme artistique. Ensemble, ils font le tour des squats New-Yorkais, puis s’installent au Chelsea Hotel, où ils côtoient Janis Joplin et Jimi Hendrix. « J’étais une hippie de la côte Est »
Il faudra attendre 1975 pour que le Patti Smith Group sorte un premier album : « Horses », produit par John Cale du Velvet Underground , qui marquera les esprits et la propulsera sur scène aux USA et en Europe.
Patti Smith a toujours mis la contestation au coeur de son art : « toute l’idée du Rock n’ Roll c’est que c’est un art révolutionnaire »
Pour la troisième année consécutive, les associations France 40 Véhicules et Underground Investigation unissent leurs forces pour proposer une soirée Hard Rock au musée.
Cette année, une affiche de rêve est proposée, avec Bloody Rosie performed AC/DC, Spirit et son concept album « Le Chaos » dédié à la première guerre mondiale, et, en invité de dernière minute, les Canadiens de Iron Kingdom !
Bloody Rosie fait désormais partie du paysage incontournable des covers bands, reconnu comme étant l’un des meilleurs tributes d’AC/DC présents sur la scène Française.
Depuis 2013, Bloody Rosie propose un show construit autour des titres d’AC/DC les plus fédérateurs, toutes périodes confondues.
Dès les premières prestations la magie opère, car Bloody Rosie n’est pas un groupe comme les autres. Le public ne s’y trompe pas et le succès est au rendez-vous. La fidélité musicale aux boys et l’énergie scénique permet au groupe de participer aux plus grands événements et festivals renommés de la scène nationale. Tête d’affiche de chaque édition des Monsters Of Tribute Rock, Bloody Rosie démontre lors de chaque concert sa capacité à tenir le haut de l’affiche sur les plus grosses scènes, comme à Saint-Quentin en 2021, devant plus de 4000 personnes !
L’efficacité du groupe est la résultante d’une symbiose entre chacun de ses membres, tous musiciens aguerris, afin de rendre le plus bel hommage au groupe mythique groupe Australo-Britannique.
Bloody Rosie c’est avant tout une équipe de passionnés. Un groupe 100% rock, dont l’énergie brute, la précision et la prestance scénique rassemblent toutes les générations autour des hymnes d’AC/DC.
L’objectif de Bloody Rosie est simple : Faire que le public ferme les yeux et entende l’original.
Formé à Surrey, C.-B. Canada, en 2011, Iron Kingdom s’inspire des classiques du Hard Rock, à travers des compositions originales et personnelles, en ayant comme influences les têtes d’affiche du style que sont Iron Maiden, Judas Priest ou encore Saxon.
La production discographique d’Iron Kingdom est riche de 5 albums studio, dont le dernier en date « The Blood Of Creation » sorti fin 2022, remarquable de maturité, avec des compositions dignes des plus grands !
Après avoir enchanté le public du British Steel Saturday Night en octobre 2023, Iron Kingdom est de retour à Fismes ! Ne manquez pas le second passage ce groupe lors de cette soirée Hard Rock au musée.
Spirit est un groupe de Hard Rock originaire des Hauts de France, devenu incontournable dans le paysage du Metal hexagonal. Ses titres fédérateurs, composés de rythmiques plombées, riffs acérés et solos puissants, possèdent tous les ingrédients pour transmettre une énergie communicative au plus grand nombre.
La venue de Spirit au musée France 40 Véhicules sera l’occasion de présenter son tout récent 4ème opus, enregistré en plus de 30 ans d’existence. On ne pouvait rêver de meilleur endroit, pour coller parfaitement à l’idée de ce concept album élaboré sur le thème de la guerre. Le visuel de la pochette qui est superbement/dramatiquement mis en image par Stan W Decker donne le ton : le groupe est là pour dénoncer cette terrible machine qui écrase l’individu et annihile toute humanité.
March Mallow sera en concert à Paris « Sunset » le 23 mai 2024. Son nouvel album, intitulé « The Silence », est disponible depuis le 19.04.24 via Abrazik / Absilone
Formé en 2018 dans la campagne sarthoise, March Mallow nait de la rencontre entre la chanteuse Astrid Veigne, le guitariste Eric Doboka et le pianiste Christian d’Asfeld qui partagent un amour commun pour un repertoire emprunt de blues et de jazz des années 40/50. Inspiré par Nat King Cole, T Bone Walker et Billie Holiday entre autres, le trio remet en lumière cette époque étincelante en s’inspirant aussi d’artistes pop et soul d’aujourd’hui. En studio, March Mallow utilise un micro à ruban stéréo apparu dans les années 30 dont la sonorité naturelle était la référence en radio, cinéma et studio d’enregistrement. Le mixage se fait comme pour un orchestre classique, par une disposition adéquate des musiciens dans la salle pour retrouver l’âme, le son organique et la spontanéité. Le trio devient quartet avec l’arrivée de Thomas Plès à la contrebasse pour l’enregistrement d’un 1er album intitulé «A Journey In Time» sorti en 2020 qui a séduit la critique par son élégance naturelle et sa justesse de ton.
Avec «The Silence» qui propose 8 compositions originales et 2 reprises, March Mallow développe un nouveau son grace à l’arrivée du saxophoniste, Cédric Thimon, le batteur Alexandre Berton, et le trompettiste, Jean-Pierre Derourad. Enregistré et mixé au studio “La boite à meuh” dans la Sarthe, ce 2ème album est réalisé sous la houlette de Frédéric Mateu qui officie comme ingénieur du son. Un point d’honneur est mis sur les prises d’enregistrement en live et sans retouche.
De «Bo Jungle», véritable transe musicale avec son riff de piano au swing de «Dreaming Love» soutenu par ce saxophone qui apporte une couleur inhabituelle, au «I Put A Spell On You» de Screaming Jay Hawkins au son plus brutal, March Mallow maitrise parfaitement son sujet porté par le chant à fleur de peau de Astrid. Puis «Mr Bojangles» écrit par Jeff Walker fait la part belle à une guitare tout en reverb sous influence Marc Ribot qui alimente une atmosphère plus folk pour s’enchainer à merveille avec le tempo rapide de «Peaceful Place». Avec son rythme up tempo «Fool’s Train» invite à nouveau à la danse grace à son énergie proche d’un big band alors que «Les Couleurs» et «Simplement», les 2 titres en français, mettent aussi en évidence les qualités melodiques de March Mallow qui crée une passerelle émotionnelle entre sonorités jazz et blues. Ainsi les époques se mêlent, les prises de conscience s’entrelacent avec un sens inné du swing.
Christina Rosmini sera en concert le 21 mai 2024 à Paris, Studio de l’Ermitage.
Les concerts de Christina Rosmini sont de magnifiques spectacles portés par la grâce et la poésie .
Artiste hors norme, éclectique et passionnée, Christina Rosmini a construit depuis le début de sa carrière un univers artistique affirmé, affranchi des repères musicaux traditionnels.
A travers ses créations, nourries d’une forte identité méditerranéenne, elle nous entraîne dans son théâtre intime où les thèmes abordés touchent immanquablement à l’universel.
Parlez-en autour de vous , laissez vous tenter ..
« Son écriture est le reflet d’un engagement humaniste, féministe et spirituel, dans un style empreint de poésie et d’humour. »
« Une artiste et un spectacle solaire . Tout est parfait , les musiques , les chansons ,la mise en scène , l’équipe . Bravo. A ne pas rater «
« une ode à la Terre et à la Vie »
Ses compositions allient tradition et modernité en puisant leur inspiration dans ses musiques de prédilection : un grand écart audacieux et ciselé entre chanson française, flamenco, musique orientale et musique latine.
Avec son nouvel album «Inti», l’auteure-compositrice marseillaise, développe un juste équilibre entre chansons légères et chansons graves, des thèmes d’actualité, comme la survie des indiens d’Amazonie menacée par la déforestation («Rouge»), la «Terre Mère» malmenée ou le réchauffement climatique («Something in the air»), l’affirmation du désir des femmes que soit leur âge («La Fea», «La Louve», «Tant de fleurs»), la mort de milliers de migrants et de migrantes en Méditerranée («Sous nos Pieds»), le désir de changer le monde malgré le constat de nos limites («J’aurais voulu»)… aux côtés de thèmes universels comme celui du premier amour («Le Kid»), celui d’une rupture, sur un ton léger, («Mais pourquoi?»), ou celui de la fuite du temps, mais sans nostalgie («Le Konnakol du bon vieux temps, et Le Temps qui passe») ou du pardon («Oublions»).
line up :
Christina Rosmini : Auteur , Compositeur, interprête , joueuse de scie
Underground Investigation présente son festival Hard Rock Legend spécial « Made In France » samedi 18 mai 2024 à partir de 20h00 à La Spirale de Fismes (51)
Cette année, hommage au Hard Rock français avec Sortilège : LE groupe culte du Heavy Metal français !!!
Quelques décennies après sa naissance, la sortie d’un EP éponyme, de 2 albums («Métamorphose» et «Larmes de Héros»), Sortilège, groupe mythique et iconique français renaît de ses cendres en 2020.
«Phoenix» (sorti en 2021) est le premier album enregistré avec le nouveau line-up et propose douze classiques réactualisés ainsi que deux titres inédits.
Les retours unanimes et positifs sont nombreux et le groupe poursuit avec un véritable nouvel album «Apocalypso» qui sort en 2023.
Sortilège proposera donc un show époustouflant, digne des plus grands groupes de Metal, avec une Setlist de qualité mélangeant, subtilement, les titres emblématiques et les dernières créations.
Stratagème, LE groupe de Hard Rock Français qui a la plus grande longévité, qui sévit depuis 1970 !!!
Au printemps 2023, 53 ans après la création du groupe, Stratagème présente son nouvel album «Never Stop». Gérard Mottée, l’irrassasiable bassiste et porte drapeau du groupe décide alors de former une équipe pour reprendre la route… Celle-ci passera par Fismes le 18 mai prochain !
Gang : régionaux de l’étape avec, bientôt, 35 ans au compteur, Gang est tombé dans la marmite quand il était petit…
Le groupe a passé ces quinze dernières années à arpenter les scènes françaises et européennes. Considéré comme « le plus anglais des groupes français », Gang s’inspire de la fameuse New Wave of British Heavy Metal des 80’s en enchainant albums et live.
Cohésion et bonne humeur constituent la grande force que le groupe affiche comme une marque de fabrique.
Soft Cell, les icônes de la new wave et du synth-pop, ont brillé dans les années 80 avec leur duo emblématique, Marc Almond et David Ball. Leur hit mondial « Tainted Love » en 1981 a propulsé le groupe au sommet de la scène musicale.
Leur album phare « Non-Stop Erotic Cabaret » a capturé l’esprit électronique de l’époque, tandis que la voix expressive de Marc Almond et les synthés de David Ball ont redéfini le paysage sonore de cette période. Même si leur carrière fut relativement courte, Soft Cell demeure une référence incontournable du synth-pop, ayant marqué une génération avec leur énergie captivante et leurs expérimentations sonores.
Le nouvel album de Bette Smith, intitulé « Goodthing », sortira le 12 juillet 2024 via Kartel Music Group.
Avec sa voix impertinente et torride, Bette propose un cocktail très personnel de soul, de rock & roll, de funk, de blues sans oublier le gospel qui a bercé sa jeunesse à Brooklyn « C’était culturellement très vivant et ça l’est toujours. Il y avait beaucoup de fêtes de quartier en été avec des groupes de Memphis et du Mississippi et nous les filles noires, on accompagnait ces groupes » raconte Bette Smith. Jamais Bette Smith n’aurait pu imaginer que sa musique lui permettrait de sillonner les Etats Unis en 1ère partie de Kenny Wayne Shepherd et des Drive-By Truckers ou de retenir l’attention de festivals en Europe. De l’enregistrement avec des artistes comme Jimbo Mathus, Kirk Fletcher, Patterson Hood et Matt Patton (Drive-By Truckers) aux louanges du New York Times et du Billboard aux radios de NPR World Café et l’Americana Music Radio Chart, Bette Smith trace sa route.
Pour réaliser son nouvel album « Goodthing » Bette s’est rendue au Royaume-Uni et a collaboré avec le producteur Jimmy Hogarth, lauréat d’un Grammy Award (Amy Winehouse, James Blunt, Corinne Bailey Rae, Tina Turner). Hogarth atteste : « Bette c’est le vrai truc. Ses paroles viennent directement du cœur. Elle emporte les gens avec sa voix unique et j’ai été ravi de travailler sur ce disque ». Ensemble ils ont créé une collection de morceaux fascinants entre le sanctuaire de Jimmy à Londres et celui de Bette à Brooklyn qui est le fruit d’une synergie créative.
Dès le début, l’album arrache le pansement avec « Goodthing » pulsé par un méchant riff à la Black Keys avec un groove digne de Stevie Wonder. Dans des registres differents comme « Cave », titre aux allures de confession d’amour qui aborde la vulnérabilité de s’offrir à quelqu’un d’autre ou « Darkest Hour » qui rappelle les ballades deep soul d’Otis et Sam Cooke en passant par « Neptune » morceau acoustique aux accents country, Bette chante toujours avec la meme passion.
Héritière de Big Mama Thorton et de Koko Taylor, Bette Smith n’a rien à envier à ses illustres aînées. Le magazine anglais Mojo ne tarie pas d’éloge à son sujet en la qualifiant de «la prochaine sensation soul de Brooklyn».
Un album inédit de George Benson retrouvé ! Intitulé « Dreams Do Come True », When George Benson Meets Robert Farnon, cet opus sortira le 14 juin 2024 Rhino / warner ( LP + CD)
Des standards américains et des classiques de la pop repris par George Benson, réhaussés par les orchestrations luxuriantes de l’arrangeur Robert Farnon.
« Après avoir retrouvé ce trésor musical longtemps perdu, j’ai demandé à Randy Waldman, mon ami génial, de m’aider à le ressusciter. Mission accomplie. » George Benson.
En 1989, pour l’album « Dreams Do Come True », George Benson avait collaboré avec le célèbre compositeur-arrangeur Robert Farnon et son orchestre. Les arrangements luxuriants de Farnon complétaient à la perfection la voix soulful et le jeu de guitare fluide de Benson sur des standards américains comme «Autumn Leaves», «At Last» et «My Romance». Cette fascinante sélection contenait aussi des relectures de classiques pop tels que «Yesterday» des Beatles et «A Song For You» de Leon Russell. En 1976, la version de «This Masquerade» de Leon Russell avait offert à Benson son premier succès, et le Grammy Award du disque de l’année.
The Rumjacks, groupe de punk celtique originaire de Sydney en Australie, seront en concert au « Forum » de Vauréal samedi 15 juin 2024. Krakin’ Kellys assurera la première partie.
En mars 2021, The Rumjacks ont sorti leur cinquième album studio «Hestia», rajeunissant l’esprit de collaboration du groupe et marquant une nouvelle ère explosive d’énergie et de libération créative. « Hestia » a introduit le nouveau chanteur et compositeur Mike Rivkees au chant, annonçant une évolution rafraîchissante pour le groupe qui a connecté les anciens et les nouveaux fans. L’album est un succès sans faille, tant sur le plan critique, qu’artistique, et ouvre une nouvelle page dans l’histoire des Rumjacks. Revigorés par la sortie d’« Hestia », The Rumjacks sont rapidement retournés en studio pour enregistrer l’EP «Brass for Gold», capitalisant sur leur nouveau sens artistique.
« Après les retours que nous avons eue suite à la sortie d’« Hestia », nous savions que nous devions continuer en ce sens et montrer que nous n’étions pas là pour plaisanter », a déclaré le bassiste Johnny McKelvey.
« Même si le COVID a « ralenti tout le monde », cela nous a simplement donné envie de travailler plus dur et d’enregistrer plus de musique. »
L’EP qui en résulte est une représentation claire d’un groupe trouvant une nouvelle voix et s’assurant que cette voix soit entendue aussi fort que possible. Ancré dans le son éclectique du punk celtique dont les Rumjacks sont devenus synonymes, «Brass for Gold» voit le groupe approfondir ses influences ska et hardcore, tout en conservant l’énergie provocatrice qui enflamme leur son.
« «Brass for Gold» regroupe tout ce qu’un EP peut offrir. Ces chansons représentent une variété d’histoires différentes. Les sujets vont de la nostalgie amoureuse, aux héros de guerre malheureux, en passant par quelques chansons à boire légères pour faire bonne mesure », a déclaré Rivkees.
« Même si certains EP ont tendance à être assez expérimentaux, «Brass for Gold» représente une solide continuation des Rumjacks récemment réformés. Une fois de plus, (presque littéralement dans certaines paroles) nous sommes des auteurs-compositeurs passionnés et dévoués. De la camaraderie rauque du premier single «One For The Road» au crescendo fracassant de «Blinding Flashes» en passant par la sentimentalité confiante de «Falling Back», l’énergie cumulative de «Brass for Gold» permet au groupe de propager haut et fort leurs idées. »
Quand Krakin’ Kellys assaisonne le rock irlandais à la sauce américano-punk, le résultat ne peut que surprendre.
Micro énervé et basse bien grasse rencontrent cornemuses et accordéon !
Fidèle à sa très belle formule A5, il se compose de 160 pages 100% couleur et propose au sommaire :
– les interviews de Benighted, Blackrain, Coven Japan, Crackmind, Ganafoul, Little Odetta, Princesses Leya, Shoeilager, Technophobia, The Agony et The Soul Of Bushido.
– dossier Les Antres du Metal – part.4.
– les live reports de : Not Scientists (Münster), Serenity (Paris), Firewind/Masterplan (Savigny Le Temple), Girlschool/Alcatrazz (Dortmund), Gotus/Mud Slick (Rubigen), Judas Priest/Saxon (Lyon), Massive Wagons (Montbéliard), Mr.Big/Jared James Nichols (Paris) et Nostronaut/Dead Hunters (Chalons en Champagne).
Et plus de 160 chroniques de disques et livres.
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